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À PROPOS

Née sur les rives du St-Laurent , en amont de Québec, Jeanne Boilard Kuonen a crayonné dès son jeune âge, cherchant à croquer les paysages campagnards qui l’entouraient.

 

C’est  après un diplôme d’infirmière en main qu’elle fait  une formation aux Beaux-Arts. Malgré un enseignement fortement orienté vers l’art abstrait, Kandinsky, Miro, Klee et l’école du Bauhaus, c’est le réalisme qu’elle recherche. En peinture comme en sculpture  la nature restera son maître.

 

Au fil de formations complémentaires, elle a aussi travaillé la terre, la cire et finalement le bronze.  Elle a pratiqué les techniques de la fonte à la cire perdue ou de la fonte au sable .

 

Au Québec elle a présenté en duo une première exposition aux Galeries St-Nicolas suivie de plusieurs expositions collectives au « Moulin des Arts » fondé par le peintre québécois Albert Rousseau. D’autres expositions y ont succédé à Sillery et sur la « Rue du Trésor » au pied du Château Frontenac à Québec.

 

En 1982, changement de décor. Elle pose son chevalet  sur les rives du Lac Léman. Après visites de nombreux musées et expositions, elle s’inscrit à une société de peintres, la SEA (Société d’éducation artistique). Ce groupe lui permet de pratiquer le dessin académique, le fusain, le pastel, l’aquarelle, l’acrylique. Mais c’est l’huile qui reste le médium idéal pour laisser vivre son art. Avec cette société elle participe à une exposition collective au Musée de l’Evêché à Lausanne.

 

A la retraite, elle poursuit sa formation à l’université  de Fribourg en histoire de l’art, pour mieux saisir, chez les peintres de la renaissance les jeux du clair-obscur, en particulier chez  le Caravage.

 

La peinture est devenue pour elle une passion. Chacune de ses toiles laisse transparaître une émotion, un ressenti face à une nature intime, une nature qui recréé à chaque jour notre lieu de vie.

La lumière, les couleurs, les contrastes, les humeurs  des paysages alentours sont les thèmes qu’elle aime saisir sur le vif pour donner « la parole » à chacun de ses tableaux. Alors s’installe entre l’artiste et le spectateur un fin dialogue ou la couleur remplace les mots.

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